Dans le cadre du renforcement continu des relations bilatérales distinguées entre la République tunisienne et le Sultanat d’Oman, et dans un contexte marqué par une dynamique positive de coopération entre les deux pays, une étape significative a été franchie avec la signature d’un mémorandum d’entente (MoU) entre la Banque Centrale de Tunisie (BCT) et la Banque centrale d’Oman (CBO).
La Cérémonie de Signature
Le siège de la Banque centrale d’Oman a abrité, le lundi 8 décembre 2025, la cérémonie officielle de la signature de cet accord stratégique. Les représentants des deux institutions financières ont formalisé ce partenariat visant à intensifier la collaboration et l’échange d’expertise.
Objectifs Clés du Mémorandum
Ce mémorandum d’entente a pour objectif de structurer et d’approfondir la coopération entre les deux banques centrales. Il devrait notamment se concentrer sur plusieurs axes fondamentaux, renforçant ainsi la résilience et l’efficacité des systèmes financiers des deux nations :
- L’échange d’informations et d’expériences en matière de politique monétaire.
- La coopération dans le domaine de la supervision bancaire et de la gestion des risques.
- Le partage des connaissances sur les systèmes de paiement et l’innovation financière.
- Le renforcement des capacités techniques et humaines par des programmes de formation conjoints.
Une Dynamique Positive de Coopération
La signature de ce Mémorandum intervient dans un contexte où les relations tuniso-omanies connaissent une dynamique positive. Cet accord financier de haut niveau témoigne de la volonté commune des deux États de diversifier et d’élargir leur partenariat, non seulement au niveau politique et économique, mais également au niveau des institutions clés de leurs économies. Cet effort mutuel est perçu comme un levier important pour stimuler les investissements croisés et faciliter les échanges commerciaux entre la Tunisie et le Sultanat d’Oman.

Prochaines Étapes
La mise en œuvre de ce mémorandum devrait rapidement déboucher sur l’élaboration de programmes de travail spécifiques et la formation de comités techniques conjoints pour concrétiser les domaines de coopération définis.

